Les voies du Balek

A la balek academy l’autonomie de nos apprenants est indispensable pour leur progression. Il en résulte naturellement un foisonnement d’idées et de stratégies pour aborder la balek attitude. Nous avons repéré deux grandes voies principales que nous avons choisi de vous détailler ici mais bien sûr il est possible d’en imaginer bien d’autres.

L’approche « let it go »

Dans l’approche « let it go » nous allons favoriser le lâcher prise en laissant les prises de décisions stupides et les systèmes hiérarchiques dysfonctionnels faire leur oeuvre.
Il faut alors prendre du recul, s’équiper d’un cornet de popcorn (imaginaire en premiere année, réel à l’approche de la diplomation) et se placer au mieux pour voir le spectacle.

A un certain niveau de Balek, il est même possible pour les plus joueurs de participer au bordel ambiant en proposant eux même des idées sans aucun sens.
Tout le talent de l’exercice est alors de réussir à envelopper ces propositions stupides dans un mélange de jargon technique et de bullshit word pour qu’elles puisse être reprises tel quel par leurs responsables (dont l’habitude de s’approprier les idées de leurs collaborateur se transforme ici en avantage).

Attention cette gamification de l’approche « let it go » n’est pas sans risque et est à réserver aux spécialistes (à partir de la 3eme année)

La voie du « fuckit »

Ici il n’est pas question de laisser couler mais plutôt, à l’inverse, d’affirmer ses positions en rejetant catégoriquement les demandes et les choix considérés comme stupides des superviseurs ou des electeurs clients.

Cette approche pourrait être vue à tors comme proche du syndicalisme ors il n’en est rien. La ou le syndicalisme a pour objectif d’améliorer les conditions de travail et de mobiliser les employés dans leur ensemble le Balekisme de type fuckit ne s’inquiète que du fait de se protéger individuellement du burnout en refusant de se laisser emmerder par des incompétents.

Il est, la aussi, possible d’apporter une touche ludique à la démarche par exemple en tordant la réalité de façon à donner l’impression que les directives ont bien été exécutés, cela peut passer par du jargon, de l’embrouillage en règle ou tout simplement en faisant croire que l’idée viens d’au dessus. Il s’agit d’être créatif.

La voie du fuckit est par définition plus risquée, pour la tenter il faut soit être confiant dans sa capacité à rester en poste soit être en année supérieure.

Cet article est collaboratif, n’hésitez pas à faire des propositions d’ajouts dans les commentaires.
Si vous repérez des fautes… franchement…on s’en tape.


Commentaires

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *